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What a surprise! A review of our first album “The Guns of Marygold”

After more than twelve year, Gabriel Badelier on Progcritique.com review our first album “The Guns of Marygold”. Amazing!

 

Le dernier album de Marygold « One Light Year » m’ayant fortement impressionné (http://progcritique.com/2017/10/marygold-one-light-year/) je m’étais promis de jeter une oreille attentive sur leur première publication datant de 2006 et qui a pour titre « The Guns Of Marygold » .

Décidément, Marygold est une formation qui a assurée dés ses premières compositions une qualité constante dans ses choix. Ce premier album sorti il y a plus de onze ans n’a pas pris une ride et s’inscrit dans un registre identique à leur dernière production. Un rock symphonique puissant, mixant habilement un son et une approche progressive avec des fondations franchement rock. Pour un premier jet « The Guns Of Marygold » propose six titres dont cinq dépassent les 5 minutes. Pour tout dire l’album et quand même un cran en dessous de « One Light Year », mais Marygold nous sert quand même un album plantureux, enlevé, qui satisfera pleinement l’amateur de rock progressif exigeant.

Par la richesse de ses mélodies et la qualité de ses compositions le groupe nous balade dés le titre d’introduction, « Hara-kiri show » dans les méandres d’une composition où la voix magique de Guido Cavalleri prend son envol et nous emporte tour à tour dans des ambiances symphoniques et psychédéliques, cela pendant plus de sept minutes. Planant, tournoyant et médiéval tel sont les qualificatifs qui vont le mieux à « Crows on the tree » longue mélopée mid-tempo syncopé. Le romantique « Marygold » qui commence très lentement se transforme au fil de la mélodie en une sorte de rock tourmenté dans lequel résonnent des groupes comme renaissance ou bien même Deep Purple. « Sunflowers » un bon rock mélodique rappelant Kansas et cie, de facture classique s’écoute avec plaisir. L’intermède acoustique « Tania stands… » permet une bonne décompression avant d’entamer « The wizard » la pièce de résistance de l’album (9:46 minutes), beaucoup plus élaborée que ses prédécesseurs, dans un style proche de Genesis période Foxtrot nous ramène dans l’univers habituel des compositions progressives avec ses variations de tempo, ses envolées de claviers et ses solos de guitares survoltés.

Ce premier album de Marygold possède la spontanéité et la fraîcheur des premiers essais, mais aussi les futures lignes directrices qui donnerons naissance a leur superbe dernière publication « One Light Year » !


Marygold’s latest album “One Light Year” impressed me greatly (http://progcritique.com/2017/10/marygold-one-light-year/) and I promised to listen carefully to their first release in 2006, entitled “The Guns Of Marygold”.

Definitely, Marygold is a formation which has ensured from the very first compositions a constant quality in its choices. This first album, released more than eleven years ago, has not taken a turn and is in the same vein as their last production. A powerful symphonic rock, skillfully mixing sound and progressive approach with frankly rock foundations. For a first draft “The Guns Of Marygold” offers six tracks, five of which are more than 5 minutes long. To say it all, the album and still a little bit under “One Light Year”, but Marygold still serves us a very good album, which will satisfy the demanding progressive rock lover.

By the richness of its melodies and the quality of its compositions, the group takes us from the title of introduction,”Hara-kiri show” in the meanders of a composition where Guido Cavalleri’s magical voice takes flight and takes us in turn in symphonic and psychedelic atmospheres, for more than seven minutes. Planant, whirling and medieval are the qualifiers that go best to “Crows on the tree” long mid-tempo syncopated melody. The romantic “Marygold” that begins very slowly turns into a kind of tormented rock in which bands like rebirth or Deep Purple resonate.” Sunflowers “is a good melodic rock reminiscent of Kansas etcetera, classical music. The acoustic interlude “Tania stands…” allows a good decompression before starting “The wizard” the piece of resistance of the album (9:46 minutes), much more elaborate than its predecessors, in a style close to Genesis’s Foxtrot period, takes us back to the usual universe of progressive compositions with its tempo variations, its flight of keyboards and its overflowing guitar solos.

This first album by Marygold has the spontaneity and freshness of the first attempts, but also the future guidelines that will give birth to their superb latest publication “One Light Year”!

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